Dessin animé culte des 90’s : Picsou et le trésor de la lampe perdue

Plutôt que de regarder des versions massacrées d’Aladdin ces dernières années, voici un dessin animé qui ne prend pas une ride.

L’occasion de retrouver la bande à Picsou.

Bonus : la chanson culte à la fin injustement coupé par w9

Film d’animation Promare

Le monde se divise en deux :

1. Vous avez déjà vu Gurren Lagann (Pilule Bleue)
2. Vous n’avez jamais vu Gurrenn Lagann (Pilule Rouge)

Les amateurs de gurrenn lagann reconnaîtront tout ce qui fait le charme de la série.

Ceux qui ne l’ont jamais vu c’est un film d’animation très bien.

Bien sûr l’intrigue reste très linéaire avec un problème posé (l’apparition  brutale des mutants de feu dans le monde) et sa résolution à la fin du film.

<Synopsis>

Une énorme tempête de feu a dévasté la moitié des villes du monde, affaiblissant les hommes et donnant naissance à des mutants capables de manier le feu, les Burnish. 30 ans plus tard, un groupe de mutants terroristes, appelés les Mad Burnish, menacent de détruire de nouveau la Terre. Le seul rempart de l’humanité ? La Burning Rescue, une équipe de pompiers d’un nouveau genre qui vont entrer en collision avec les Mad Burnish.

</Synopsis>

Mais l’animation est correcte et une OST à couper la souffle.

NDLR : Ne pas louper l’intro du film qui est géniale.

 

The Boys S01 E01

Comment s’organiserait une société qui aurait intégré les super héros ? La réponse se trouve se trouve dans la série The Boys.

Tout commence par une tragédie : une fille se fait tuer accidentellement par un super héros « en service ». Dans une série classique se poserait la problématique des supers héros et du subtil dosage entre faire son devoir et ne pas tout casser. Rien de tout cela, comme dans toute société où le logos a triomphé les rapports conflictuels se résolvent en appliquant le droit (ce monstre plus froid que le plus froid de tes monstres préférés).

Ce liminaire passé, on découvre une société où l’intégration des « gens qui ont du pouvoir » s’est faite naturellement. Ce processus canonique se poursuit jusqu’à la création d’une multinationale de super héros. Le super-capitalisme triomphant se dirigeant vers un monde totalitaire.

Ici la série prend un contre-pied un peu prévisible. Le pouvoir devient une marchandise et se vend dans un marché de l’offre et de la demande. Plus surprenant (ou pas) malgré un monde régie par des super héros, les inégalités restent. Là où un spiderman guiderait son action vers la justice là l’action des Seven (les héros) s’inscrit dans une logique contractuelle. Pis encore, la perversité de ses membres s’affiche derrière la cape de la vertu.

Mais revenons à nos moutons. On se laisse à se prendre de sympathie avec ce jeune dans son combat de David contre Goliath.

Bref, un bon premier épisode.